Cette école a visé à créer une relation efficace entre l'instrumental et le théorique. L'accent a été mis sur les grands projets instrumentaux français (INSU, IN2P3) ou européens (ESO), dans lesquels la communauté cosmologique française s'est engagée.

Ceux-ci comprend les projets associés :

• aux télescopes au sol (de l'optique à l'observation radio, en passant par l'infra-rouge proche), au VLT (grandes structures, lentilles gravitationnelles / ESO-INSU), LITE (grandes structures, surveys profonds / CEA-INSU) et POST, et aux surveys profonds en redshifts.

• à la recherche de la matière noire (DIABOLO, MANIOLA, EROS et ROSAT,..), qui est devenue une nécessité commune à l'astronome et au physicien. Noter que pour cela, il est nécessaire de connaître les candidats afin de pouvoir préciser les moyens d'observation.

• au fond diffus cosmologique (CMB). L'analyse de ses fluctuations est un domaine de recherche prometteur pour ce qui est de l'estimation des paramètres cosmologiques et sur lequel on devra s'impliquer.

• C. Cezarski (DAEC), G. Comte (OM), T. Damour (DARC & IHES)
• V. de Lapparent (IAP), F-X. Desert (IAS), B. Fort (DAEC)
• D. Gerbal (DAEC), J-L. Puget (IAS), M. Spiro (CEA Saclay)
• A. Vidal-Madjar (IAP), R. Triay (CPT)

• Le ciel cosmologique en X et en gamma
• Les grandes structures
• Les divers fonds diffus
• Les absorbants à grand redshif et la nucléosynthèse
• La matière noire

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