Historique
Cette
école
thématique
du CNRS a été créée en
2007 avec l'approbation de la
communauté de la physique des astroparticules le soutien du Groupement de
Recherche
"Phénomènes Cosmiques de Hautes Energie" (PCHE); qui a été remplaçé en 2012 par le "Programme National Hautes Energies" (PNHE). Les programmes
instrumentaux de grande envergures tel que Antares, Auger, CODALEMA,
CREAM, Fermi, (ancien GLAST), HESS, INTEGRAL,
Swift,
Tarot, Virgo, XMM)
ainsi que les projets futurs comme AMS-02,
CTA, KM3NeT, LISA,
LOFAR, SVOM,
IXO,
témoignent
de l'importance acquise par cette thématique
durant ces
dernières années, qui émarge
aussi dans le programme interdisciplinaire du CNRS "Particules
et Univers". L'ensemble de
ces
projets sont soutenus par les agences du CNRS,
INSU, CEA, IN2P3
et CNES. Ces recherches requierent un très large spectre de compétences. car plusieurs disciplines y sont impliquées, comme l'astronomie, la physique théorique et la physique des particules élémentaires, mais aussi les sciences de l’ingénieur et l’instrumentation. Ces communautés scientifiques n'ont pas un langage commun mais des savoir-faire complémentaires, qu'elles cherchent à mettre à profit. Elles ont donc un besoin de parfaire leur compétence pour une meilleure compétitivité sur le plan international. C'est dans cet esprit, en conformité avec les objectifs de la formation permanente du CNRS, que l'Ecole de Physique des Astroparticules a vu le jour. Le
but de cette formation est la mise à niveau et le
développement d'une
communauté
pluridisciplinaire sur des axes de recherche affichés par le
CNRS.
Se limitant exclusivement au cadre national (cours effectués en
langue française), elle permet à une communauté
thématique
spécialisée de faire le point sur un sujet tout en
permettant
à d'autres chercheurs de s'instruire. À cette
occasion,
les étudiants ou post-doctorants pourront compléter leur
formation universitaire et se rencontrer. De plus, cela permet
d'uniformiser les
enseignements au niveau national et un brassage de la communauté. Roland TRIAY
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